Aurélie Zoumarou, ministre du Numérique et de la Digitalisation, a présenté le budget 24,4 milliards FCFA, de son ministère pour l'année financière 2024 à la Commission budgétaire de l'Assemblée nationale.
Les attaques cybernétiques s’amplifient ces dernières années dans le secteur financier qu’elles ont atteint un degré nettement alarmant, et font peser sur les institutions financières du monde entier une menace croissante, déstabilisant la sécurité des données confidentielles quitte à ébranler la confiance des clients. Souvent bien perfectionnées et d’un ciblage précis, ces attaques tendent à subtiliser des informations financières, à perturber le bon fonctionnement des opérations et à déstabiliser le système financier. Fort inquiètes de la gravité de cette situation, les entreprises du secteur financier se sont vues contraintes de déployer un supplément d'efforts pour se doter d’une défense invulnérable, faire cause commune avec les autorités compétentes et prendre des précautions proactives pour prévenir une si grave menace. Dans le présent article, nous nous pencherons en profondeur sur l’expansion des attaques cybernétiques qui frappent le secteur financier et les démarches pour y remédier.
Le gouvernement marocain prévoit le lancement de la deuxième phase du « Plan National pour le Développement du Haut et Très Haut Débit » (PNHD) en 2024, selon les déclarations de Ghita Mezzour, ministre déléguée chargée de la transition numérique et de la réforme de l'administration.
De nos jours, l'intelligence artificielle (IA) joue un rôle clé au quotidien. Elle s’est insinuée dans les nombreux secteurs de la santé, des transports, des finances et même des relations sociales. Ce progrès technologique spectaculaire suscite toutefois une interrogation de taille: l'IA est-elle à même de réussir un certain degré de sensibilité ?
La République de Djibouti a lancé son premier satellite, « Djibouti 1A » depuis la base spatiale de Vandenberg à bord de la mission de covoiturage SSO.
L’âge numérique a essentiellement transformé notre mode de vie qui, aujourd’hui, est ponctuée de l'usage omniprésent d'appareils électroniques. Cependant, un enjeu de taille sur le plan environnemental est né de ce tournant décisif survenu sur le plan technologique, portant sur le traitement des déchets électroniques, plus connus sous le terme « e-waste ». Pour faire face à cet enjeu qui gagne en intensité, une initiative novatrice a été lancée ciblant la promotion de la durabilité et la création des emplois dans ce secteur qui connait déjà un boom.
Le Bénin envisage d'incorporer l'intelligence artificielle (IA) et la gestion des mégadonnées dans son système éducatif, une démarche découlant de l'adoption, en janvier dernier, d'une stratégie nationale dédiée à l'IA et aux mégadonnées. Le Conseil des ministres du Bénin a approuvé la réalisation d'une étude de faisabilité visant à intégrer des programmes de formation en programmation, langages d'IA et gestion des mégadonnées tant dans l'éducation de base que dans la formation continue.
Le secteur des TIC (Technologies de l'Information et de la Communication) au Bénin connait une évolution incessante, du fait d’un investissement progressif dans le développement des infrastructures et des services liés à ce secteur, entrainant dans son sillage des progrès tels que la connectivité internet a connu plus d’expansion, les réseaux de télécommunications se sont modernisés et l'accès à l'informatique a été promu.
Au Togo, le câble internet Equiano de Google est fonctionnel depuis août 2023, faisant du Togo le premier pays d'Afrique à se connecter à cette nouvelle infrastructure sous-marine de pointe. Cette information a été officialisée par le directeur de Csquared Woezon, une joint-venture entre Csquared et le gouvernement togolais chargée de la gestion et de la commercialisation de la capacité internet du câble dans le pays.
Le Sénégal est sur le point de se connecter au câble sous-marin à fibre optique 2Africa, dirigé par le consortium du même nom et dirigé par Meta. Les travaux pour installer la branche sénégalaise de cette infrastructure ont commencé avec l'arrivée à Dakar d'un navire câblier d'Alcatel Submarine Networks (ASN), une filiale de Nokia chargée de la construction du câble. Cette dernière travaillera en collaboration avec la société de télécommunications Sonatel, qui est responsable de la construction de la station d'atterrissage de 2Africa au Sénégal.
