Cette année aussi, dans le cadre de Telecom Review Sumit 2016, des prix reconnaissant les efforts des leaders de l'industrie déployés en 2016 ont été remis pour célébrer le succès des lauréats. La 7e édition de Telecom Review Summit a vu 167 nominations pour les prix d'excellence Telecom Review. Les gagnants ont été choisis en se basant sur leurs capacités reconnues et démontrées dans leurs secteurs respectifs par un panel indépendant de 15 vétérans experts en la matière.

Lire la suite : Telecom Review Summit 2016 : S.E. Yasser El Kady reçoit un prix de mérite

S.E. Anouar Maarouf, ministre des Technologies de la communication et de l'économie numérique a officialisé la signature d'un don de 2,3 millions de dollars de l'ONG Silatech à Smart Tunisia. Ce don, qui sera géré directement par Silatech en Tunisie, sera réparti sur plusieurs tranches jusqu'à 2020 et consolidera la promotion du programme Smart Tunisia.


Le contrat a été signé directement par Badreddine Ouali, président de Smart Tunisia et S.E. Dr. Hessa Sultan Al Jaber, directrice exécutive de Silatech, en présence de S.A.R. Sheikha Moza Bint Nasser et S.E. Anouar Maarouf à Doha.

Silatech est une ONG ayant pour mission principale la création d'emploi et le développement d'opportunités pour les jeunes à travers le monde arabe, notamment à travers la création d'emplois à grande échelle, la promotion de l'entrepreneuriat, l'accès au financement et aux marchés pour les jeunes, l'encouragement de l'engagement et de la participation des jeunes dans le développement économique et social.

Le partenariat entre Silatech et Smart Tunisia vise à soutenir et accompagner l'implémentation du projet Smart Tunisia notamment sa stratégie de promotion et de communication et la constitution d'une équipe commerciale hautement qualifiée, ainsi que la participation et/ou l'organisation d'évènements majeurs dans le domaine de la TI. En outre, dans le cadre de ce partenariat, les deux entités peuvent bénéficier de la plate-forme Tounes Ta3mal : une base de données de plus de 85000 CV, publications d'offres d'emploi, pré-matching des candidats, formation et tests en ligne, conseil et orientation professionnelle pour les jeunes.

Dans le cadre du Broader Way Forum 2016, tenu en marge du Cairo ICT 2016, le 30 novembre 2016 au Caire en Egypte, le président de Huawei Technologies en Afrique du nord, Peng Song a prononcé le discours d'ouverture en la présence de Yasser El-Kadi, ministre des Technologies de l'information et de la communication en Egypte, Dr. Mostafa Madbouly, ministre du Logement, des services publics, et des communautés urbaines et Dr. Hamadoun Touré, directeur exécutif de Smart Africa.


Dans ce forum intitulé "" promotion de la transformation numérique "", le président de Huawei en Afrique du nord a réélaboré la stratégie de l'entreprise relative aux TIC en répondant aux questions suivantes : comment réaliser la société intelligente du futur à travers tous les concepts du cloud et les TIC ? Comment la collaboration entre chaque membre de l'entreprise peut créer un écosystème ouvert de cloud ? Comment être un leader responsable des TIC ?

Le président de Huawei en Afrique du nord, Peng Song a souligné le suivant :

Premièrement, les TIC basées sur le Cloud seront le pilier du Monde intelligent

Le Cloud nous affecte tous ; que ce soit au niveau des économies nationales, entreprises ou êtres humains, nous sommes tous affectés par le cloud d'une façon ou une autre. Huawei prévoit que le développement des TIC sera basé sur le cloud. Les TIC basées sur le Cloud seront le pilier du monde intelligent.

Selon notre propre philosophie, le monde intelligent est défini par trois caractéristiques : tous les objets auront la capacité à sentir, tous les objets seront connectés et tous les objets seront intelligents. Ces trois caractéristiques dépendent complètement sur les TIC avancées. Huawei est engagé à établir une architecture synergique des TIC pour les dispositifs, les canaux et le cloud, afin de consolider un monde intelligent.

Deuxièmement, la définition d'un écosystème ouvert de cloud est une responsabilité partagée par toutes les entreprises

Quels rôles les entreprises jouent-elles dans l'ère du cloud ? Dans l'ère du cloud, chaque entreprise a son propre coin de forêt. Aujourd'hui, j'aimerai vous dire comment nous pouvons lier ces différents coins pour former un écosystème ouvert. J'aimerai aussi explorer le positionnement et la responsabilité de Huawei en tant que membre de cet écosystème.

Comme toute autre révolution technologique dans l'histoire de l'humanité, l'impact du cloud sur la société s'est déjà élargi pour dépasser la simple technologie. Le cloud a affecté les modèles d'affaires et la manière selon laquelle les gens pensent.

Dans l'ère du cloud 1.0, les entreprises pionnières renforcent les TIC afin d'avoir des ressources effectives partagées. Dans les 10 années à venir, quand nous devons atteindre l'ère du cloud 2.0, nous verrons l'émergence d'un nombre illimité de cloud. Il est prévu que d'ici 2025, toutes les entreprises déploieront les technologies et les modèles du cloud, et 85% des applications des entreprises seront déployées sur le cloud.

Dans ce contexte global, le travail individuel n'est plus une option ; il est presque impossible pour une entreprise d'établir une série de systèmes seules. Afin de réussir à long terme, les entreprises doivent devenir plus ouvertes et flexibles. Elles doivent développer un mélange d'avantages futuristes ou bien ce qu'on appelle "" avantages compétitifs et écologiques "".

Troisièmement, être ouvert et collaboratif pour un écosystème partagé réussi

L'écosystème auquel nous aspirons est ouvert et prospère.

Chaque entreprise, grande soit-elle ou petite, peut devenir une partie de la communauté des intérêts communs, tant qu'elle a ses propres valeurs et offre sa propre contribution.

Pour Huawei, faire un plus grand gâteau, qui se reflète par  la croissance de l'industrie et du marché est plus important que la lutte pour une plus grande partie. Dans cet écosystème, nous ne voulons pas posséder toutes les ressources. Au contraire, nous comptons faire un plus grand gâteau pour tout le monde, nous ne ciblerons que 1% du gâteau énorme de la transformation numérique ; nos partenaires peuvent avoir le reste. Pensez-vous que ça sera une décision difficile pour Huawei ? Pas du tout. En effet, notre fondateur, M. Ren fait ceci au niveau de notre plan d'actionnariat salarié depuis plus de vingt ans.

C'est notre responsabilité et notre mission en même temps !

Voilà pourquoi, j'aimerai partager ceci avec tout le monde aujourd'hui. Huawei est engagé au marché égyptien pour plus de 15 ans. Afin d'améliorer l'aspect numérique en Egypte, nous souhaitons combiner tous les talents, capacités et ressources pour définir un écosystème dynamique et promouvoir le progrès social.

Notre objectif est d'établir des liens plus durables avec le monde et de promouvoir les ressources externes pouvant soutenir nos efforts, pour enfin renforcer un écosystème qui sera bénéfique pour tous à l'avenir.

J'ai hâte de suivre les discussions fructueuses qui seront tenues au cours du Forum. Merci bien.

Pour la septième année consécutive, Telecom Review a tenu son sommet annuel intitulé It's All About SMART Networking, le 13 décembre à l'Hôtel Intercontinental à Dubaï Festival City. Cet évènement a réuni les leaders du secteur des TIC et télécoms qui ont discuté des développements actuels affectant l'industrie.


Les intervenants ont abordé les tendances actuelles telles que : la 5G, les objets connectés et les mégadonnées (Big Data), l'impact des villes intelligentes sur notre vie quotidienne, l'économie intelligente, le rôle des opérateurs dans la lutte contre les menaces et la provision de solution.

Ce sommet a regroupé des experts représentant des entreprises de renommé internationale qui ont échangé différentes idées et essayé de trouver des solutions pouvant aider à surmonter les défis de nos jours.

La cérémonie des prix d'excellences Telecom Review a clôturé l'évènement, reconnaissant les exploits des entreprises, chacune dans son secteur spécifique. Un panel indépendant, formé de 15 vétérans experts en la matière, ainsi qu'un jury spécialisé ont choisi les gagnants, en se basant sur leurs capacités reconnues et démontrées dans leurs domaines respectifs.

Le spécialiste japonais des petits écrans LCD Japan Display a annoncé une levée de fonds pour prendre le contrôle de son compatriote Joled, expert des écrans organiques (Oled), afin d'élargir son offre et son potentiel de marché.

Lire la suite : Japan Display lève des fonds et étend sa stratégie aux Oled

Les télécommunications sont aujourd'hui un élément important de l'économie ivoirienne. Ce secteur représente 7% du Produit intérieur brut (PIB) avec des acteurs variés et des offres de plus en plus innovantes.


Du réseau de téléphone fixe à la téléphonie mobile, en passant par l'internet, les télécommunications se sont développées rapidement durant ces  vingt dernières années. Depuis cinq ans, on assiste à la mise en place d'une véritable économie numérique. Les mesures prises par le pays depuis 2012 et l'adaptation aux mutations expliquent cette forte croissance.

On note plus de 25 millions d'abonnés au mobile et un taux de pénétration qui avoisine les 100% avec les phénomènes de multi-SIM. Trois opérateurs, Orange Côte d'Ivoire, MTN Côte d'Ivoire et Moov Côte d'Ivoire se concurrencent pour  l'obtention de licences globales octroyées d'une valeur de 100 milliards de F CFA, soit plus de 166 millions de dollars. Le Mobile Money est devenu le nouvel eldorado des acteurs du secteur.

En Côte d'Ivoire, le poids et l'impact des technologies de l'information et de la communication sur l'économie nationale sont considérables. On note que l'industrie emploie 150 000 personnes et compte pour 10% des ressources fiscales annuelles. Ces résultats spectaculaires sont dus à la politique de libéralisation du secteur qui a favorisé un climat d'investissements.

Jusqu'en 1995, les télécommunications étaient directement gérées par l'Etat ou des entreprises à capitaux publics. Après cette période, une nouvelle loi a permis la libéralisation du secteur et l'ouverture du marché à des privés.

L'ouverture du secteur des télécommunications en 1995 a coïncidé avec l'arrivée du mobile. Introduit en Côte d'Ivoire au milieu des années 90, il fut lancé par la société américaine COMSTAR en 1994. Deux ans plus tard, sont arrivés sur le marché deux autres opérateurs, à savoir : Ivoiris, qui porte aujourd'hui le nom d'Orange Côte d'Ivoire et Telecel de Loteny, qui a été par la suite racheté par la multinationale MTN.

Il y a près de six mois, ce sont six sociétés qui exerçaient dans le domaine de la téléphonie mobile, à savoir : MTN Côte d'Ivoire, Orange Côte d'Ivoire, Moov Côte d'Ivoire, Café Mobile, GreenN, Comium et Warid. Les quatre derniers se sont vus retirer leurs licences pour non-respect du cahier des charges, conformément à un nouveau cadre réglementaire adopté en 2012 pour répondre à la volonté de consolider le marché.

Les acteurs majeurs du secteur des télécommunications

Trois acteurs majeurs exercent dans le secteur des télécommunications : ceux qui opèrent dans la téléphonie mobile, ceux qui fournissent l'accès à  internet, ainsi que les entreprises privées et les SSII dépendant fortement de ces derniers. Orange Côte d'Ivoire, MTN Côte d'Ivoire et Moov Côte d'Ivoire sont les opérateurs principaux qui détiennent plus de 96% du marché dans les domaines du mobile, du fixe et d'internet.

 

 

ORANGE

 

MTN

 

MOOV

 

GLOBAL

Nombre
d'abonnés
à la téléphonie mobile

11 766 106

7 960 460

5 499 860

 

25 226 426

Parts de marché
selon le chiffre d'affaires

50,96%

32,37%

16,67%

100%

Fig.1 – Nombre d'abonnés aux services mobiles au 2e trimestre de 2016 (Source : ARTCI)

ORANGE

MTN

MOOV

GLOBAL

49,20%

33,28%

23,00%

105,48%

Fig.2 – Taux de pénétration à la téléphonie mobile au  2e trimestre  de 2016 (Source : ARTCI)

L'Etat ivoirien, par l'entremise du ministère de l'Economie numérique et de la Poste, fait la promotion et vulgarise le secteur des télécommunications à travers trois structures publiques qui sont :

-L'Autorité de régulation des télécommunications et des TIC de Côte d'Ivoire (ARTCI)

-L'Agence nationale du service universel des télécommunications et des TIC (ANSUT)

-L'Agence ivoirienne de gestion des fréquences (AIGF)

Le boom du Mobile Money ou quand les opérateurs se substituent aux banques

Ces cinq dernières années, le Mobile Money s'est imposé comme l'un des moyens de transactions financières les plus utilisés par les populations. Dans un pays où le taux de bancarisation atteint difficilement les 15%, cela est une vraie aubaine et une autre façon de relancer un secteur toujours à la recherche de produits innovants.

Déjà, en 2014, un rapport de la Banque mondiale indiquait que les détenteurs de comptes de paiement mobile (24%) ont dépassé ceux de comptes bancaires (15%) en Côte d'Ivoire.

Au cours du premier semestre de 2015, les recettes sur les retraits, les transferts et les paiements de factures ont atteint 17 milliards FCFA, soit environ 28 millions de dollars, révèle l'ARTCI. Le gouvernement ivoirien, lui, évalue le volume des transactions mobiles à entre 8 et 17 milliards FCFA (16 et 28 millions de dollars) par jour.

Pour garder son avance sur ses concurrents, Orange Côte d'Ivoire s'est doté d'un centre d'expertise, en conformité avec Orange Money (CECOM) sis à Abidjan, qui accompagnera son offre de services financiers en Afrique de l'ouest. A terme, l'opérateur vise la micro-finance et la micro-assurance. Il a d‘ailleurs aussi obtenu une licence d'Emetteur de monnaie électronique (EME), lui permettant de gérer sans partenaire bancaire le paiement de factures ou les transferts d'argent à partir des comptes Orange Money.

ORANGE

MTN

MOOV

GLOBAL

 

Nombre d'abonnés 
au Mobile Money

 

4 819 769

 

1 492 726

 

426 245

 

6 738 740

Fig.3 ‒ Nombre d'abonnés au Mobile Money au 2e trimestre de 2016 (Source : ARTCI)

Le leader du secteur des transactions financières via mobile est Orange Côte d'Ivoire avec près de 75% des recettes globales perçues. Il est suivi par MTN Côte d'Ivoire avec 24% des recettes du marché et Moov Côte d'Ivoire qui conserve près de 1% des recettes perçues à travers les retraits, les transferts et les paiements.

Avec la 3G et la 4G, un plus grand nombre de consommateurs a accès à internet

Si, au départ, l'ADSL était la seule option pour accéder à internet, aujourd'hui le mobile avec la 3G et la 4G, a introduit une nouvelle donne et fait passer le taux de pénétration de moins de 1% à près de 30%. L'accès est dominé par le mode mobile qui connaît une forte progression. Les coûts de l'internet, élevés au départ, étaient dus à la situation de monopole de l'opérateur historique Côte d'Ivoire Télécom, détenteur du seul câble sous-marin international à fibre optique. Depuis, le pays dispose de trois câbles sous-marins qui ont permis d'observer des réductions significatives des prix de l'ADSL et les services de haut débit sans fil Wimax.

 

MTN
Internet

AVISO

VIPNET

ALINK

YOOMEE

TOTAL

Nombre d'abonnés
à internet fixe

27 966

65 389

2 198

49

6 353

101 955

Fig.4 ‒ Marché de l'ADSL en Côte d'Ivoire au  2e trimestre de 2016 (Source : ARTCI)

 

ORANGE

MTN

MOOV

Total

Nombre d'abonnés
à l' internet  mobile

2 707 779

3 505 557

1 285 251

7 498 587

Parts de marché
selon le nombre
d'abonnés

36,11%

46,75%

17,14%

100%

Fig.5 ‒ Marché de l'Internet Mobile en Côte d'ivoire au 2e trimestre de 2016 (Source : ARTCI)

Le potentiel de croissance du secteur demeure important en Côte d'Ivoire. La 4G, qui a fait son entrée depuis quelques mois, va encore développer l'internet mobile et faire progresser le taux de pénétration. Ces trois dernières années, l'e-Commerce a commencé à gagner du terrain avec des entreprises comme Jumia, Afrimarket, CDiscount ou Wasiri. L'Etat affiche sa volonté d'investir dans des infrastructures avec 7000 km de fibre optique et de créer des centres de données pour encourager le développement d'e-Services et soutenir l'implantation de multinationales dans une zone franche des technologies.

Les passagers des TGV pourront enfin surfer sur internet pendant leur voyage, d'abord entre Paris et Lyon, où du Wifi gratuit est disponible dès cette semaine, puis progressivement sur l'ensemble des lignes TGV d'ici fin 2017.


En 2017, toutes les lignes TGV seront connectées: Bordeaux, Strasbourg, Lille, Rennes, puis Marseille. Les autres trains suivront: "" 90% des voyages en train seront couverts en 2020 "", a assuré Guillaume Pepy.

Le choix de la SNCF est "" d'abord d'offrir un accès internet gratuit "", a souligné Guillaume Pepy, ajoutant qu' "" il faut avoir en tête que 550 personnes ne peuvent pas, au même moment, décider de télécharger un film, ça ne passe dans aucun réseau wifi, dans aucun réseau 3G/4G "". Ainsi, "" une fois qu'on a atteint le quota de données autorisées, le débit est ralenti "", ajoute Pierre Matuchet, directeur marketing de Voyages SNCF.

"" C'est la troisième tentative dans les TGV, donc on espère que ça sera la bonne "", sourit Rachel Picard. Après un premier essai sur la ligne Paris-Vendôme en 2004, uniquement avec la 2G, et un deuxième sur la ligne Paris Est vers Strasbourg en 2010, qui utilisait la technologie satellitaire et proposait de l'internet payant, c'est cette fois un système utilisant les réseaux de téléphonie mobile 3G/4G, et les relayant via le Wifi à bord des trains, qui a été choisi.

"" On roule à 300 km/h, c'est ça la difficulté "", a souligné Rachel Picard. A cette vitesse, le passage de relais entre deux bornes 3G/4G se fait toutes les 15 secondes. Ainsi, l'opérateur téléphonique Orange a installé des bornes tous les deux ou trois kilomètres le long de la ligne TGV, pour capter le signal Wifi.

Installées sur la voiture bar, "" on a huit antennes qui récupèrent le signal. Ensuite ce signal on l'agrège, et à travers un réseau de fibres optiques, (...) on le fait circuler dans toute la rame "". Puis, dans chaque voiture, quatre antennes Wifi transmettent ce signal aux utilisateurs, a expliqué Pierre Matuchet. "" On récupère le signal 3G/4G et on le transforme en wifi, pour stabiliser le signal, pour le rendre plus pur "", a-t-il ajouté.

 

Pourquoi utilise-t-on le filtre à cavité sur le circuit imprimé (PCB)

Pourquoi les filtres à cavité sont-ils encore employés dans les boîtiers, y compris les enceintes?


Ceci est dû au 3GPP (projet de partenariat de la 3e génération) de l'ETSI (catégorie A ou B) visant à prévenir l'interférence avec d'autres systèmes de communication. Pour ce faire, l'atténuation de spécification est très importance au niveau des filtres de radio fréquence. Les caractéristiques d'atténuation de haute performance sont requises pour utiliser un résonateur avec un facteur de grande qualité. Afin d'obtenir une valeur Q élevée, il faut augmenter la dimension ou utiliser un matériau diélectrique à faibles pertes ou un métal onéreux qui est un excellent conducteur (exemple : Au). Si on augmente la dimension du filtre, l'espace du circuit imprimé (PCB) diminuera et le montage devient impossible à cause du poids. Par conséquent, la solution réside au niveau de la réduction de la perte diélectrique. Puisque l'air est caractérisé par la perte diélectrique la plus faible parmi tous les matériaux diélectriques, les filtres à cavité l'utilisent. Il convient de signaler que la valeur Q du résonateur du filtre à cavité ayant une dimension acceptable sur le montage du PCB est 1000~2000.

 

Avantages du filtre à microcavité comparé avec un filtre en céramique

Parmi les filtres conventionnels, c'est le filtre en céramique qui peut être installé sur le PCB. Le filtre en céramique qui est miniaturisé en mettant le matériau diélectrique à l'intérieur du résonateur, est utilisé normalement dans le combiné. Des études ont été lancées récemment pour adopter les filtres en céramique dans les équipements de la station de base, toutefois la valeur Q atteint un maximum de 700. Il est difficile de se conformer au niveau standard conventionnel d'atténuation telle que le démontre la figure 1. En outre, les avantages du filtre à cavité comparé avec celui en céramique existent au niveau de la maîtrise de l'émission de rayonnements non essentiels parce que c'est rare d'avoir un mode plus supérieur du résonateur.

Quelles sont les technologies qui privilégient KMW dans le domaine des filtres à micro cavités ?

Le plus important facteur dans la production de filtre est le processus de mise au point. En général, il est effectué à la main par une personne qualifiée. Toutefois, si le filtre est plus petit que le doigt d'un individu, cette tâche sera difficile. Voilà pourquoi, la mise au point automatique en utilisant un appareil mécanique s'avère nécessaire. KMW possède un brevet baptisé "" Bellows Tuning Technologies "" dont la fiabilité a été prouvée sur le marché et au niveau de la production en masse. Afin de fabriquer un petit filtre léger, la finesse des côtes entre les résonateurs est très importante.  Toutefois, dans ce cas, il ne peut pas joindre le corps à la couverture en utilisant des vis. Pour résoudre ce problème, KMW utilise une technologie qui soude le corps et la couverture en ayant recours à la méthode de chauffage par induction.

MIMO massif et Beamforming par le filtre à micro

Comment le MIMO massif et les filtres compacts sont-ils liés ? Les normes de la 4G soutiennent le MIMO 4x4. Toutefois, pour avoir une capacité 10 fois plus grande comparée avec la 4G, la 5G doit supporter plus qu'un MIMO 64x64. Par conséquent, ceci signifie que si la configuration actuelle nécessite 4 filtres par station de base, alors 64 filtres sont requis pour un MIMO massif. Avec 64 filtres intégraux, le poids du système augmentera ainsi que le coût puisque 64 connecteurs de radio fréquences chers seront employés. D'autre part, dans le cas de l'utilisation du filtre dans le montage du PCB, nous aurons une interface de radio fréquence fiable sans des connecteurs de radio fréquence chers. Dans ce cadre, les filtres mis manuellement au point peuvent difficilement maintenir une phase consistante. Toutefois, les filtres à macro cavités peuvent la garantir grâce à la mise au point automatique, et sont très bénéfiques pour le beamforming parce qu'ils sont connectés directement sur le PCB sans des connecteurs de radio fréquence. La figure 4 montre le RRH pour le LTE-TDD 2.5 GHZ supportant le MIMO 8x8 avec un filtre à microcavités fixé sur une pièce du PCB.

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